Qu’est-ce que le développement humain et pourquoi c’est important?

Imaginez deux enfants nés dans la même ville et la même année dans des familles au statut socio-économique similaire. L’un des enfants grandit en s’affirmant et en ayant confiance en lui, tandis que l’autre grandit en étant timide. L’étude des étapes du développement humain peut aider à expliquer les raisons de ces différences et bien plus encore.

Qu’est-ce que le développement humain, exactement ? Le développement humain est une branche de la psychologie dont l’objectif est de comprendre les personnes – comment elles se développent, grandissent et changent tout au long de leur vie. Cette discipline, qui peut aider les individus à mieux se comprendre et à mieux comprendre leurs relations, est vaste. En tant que telle, elle peut être utilisée dans divers cadres professionnels et parcours de carrière.

Quels sont les huit stades du développement humain ?

Si le développement humain est l’étude de la façon dont les gens changent tout au long de leur vie, comment et quand ce développement se produit-il ? De nombreux scientifiques et psychologues ont étudié divers aspects du développement humain, notamment le psychologue de l’ego Erik Erikson. Il a examiné l’impact des expériences sociales tout au long de la vie d’un individu et a théorisé que le développement psychosocial se produit en huit parties séquentielles. Quelles sont les huit étapes du développement humain ?

Etape 1 – La petite enfance : Confiance vs méfiance

Au premier stade du développement humain, les nourrissons apprennent à faire confiance en fonction de la façon dont leurs soignants répondent à leurs besoins fondamentaux et réagissent lorsqu’ils pleurent. Si un nourrisson pleure pour être nourri, le parent peut soit répondre à ce besoin en le nourrissant et en le réconfortant, soit ne pas répondre à ce besoin en l’ignorant. Lorsque leurs besoins sont satisfaits, les nourrissons apprennent que compter sur les autres est sans danger ; lorsque leurs besoins ne sont pas satisfaits, les nourrissons grandissent et font moins confiance.

Étape 2 – L’enfance : Autonomie contre honte et doute

En plus de l’autonomie contre la honte et le doute, une autre façon d’envisager la deuxième étape est l’indépendance contre la dépendance. Comme dans la première étape, les tout-petits traversent cette étape en répondant à leurs soignants. Si ces derniers les encouragent à être indépendants et à explorer le monde par eux-mêmes, les tout-petits grandiront avec un sentiment d’efficacité personnelle. Si les soignants les surveillent excessivement ou encouragent la dépendance, ces tout-petits grandissent avec moins de confiance en leurs capacités.

Par exemple, si un tout-petit veut marcher sans aide dans une zone sûre, le soignant doit encourager cette autonomie en permettant ce comportement indépendant. Si le soignant insiste pour tenir la main du tout-petit même quand ce n’est pas nécessaire, cette attention peut entraîner le doute plus tard dans la vie.

Étape 3 – années préscolaires : Initiative vs culpabilité

Au cours des années préscolaires, les enfants apprennent à s’affirmer et à parler lorsqu’ils ont besoin de quelque chose. Certains enfants peuvent déclarer qu’ils sont tristes parce qu’un ami a volé leur jouet. Si cette affirmation est accueillie par une réaction positive, ils apprennent que prendre des initiatives est un comportement utile. En revanche, si on les fait se sentir coupables ou honteux de leur affirmation, ils risquent de grandir en étant timides et moins enclins à prendre les devants.

Étape 4 – Premières années scolaires : Industrie vs infériorité

Lorsque les enfants commencent à aller à l’école, ils commencent à se comparer à leurs pairs. Si les enfants ont le sentiment d’être accomplis par rapport à leurs pairs, ils développent une forte estime de soi. En revanche, s’ils remarquent que d’autres enfants ont franchi des étapes qu’ils n’ont pas franchies, ils peuvent avoir du mal à avoir une bonne estime d’eux-mêmes. Par exemple, un élève de première année peut remarquer que ses résultats aux tests d’orthographe sont constamment inférieurs à ceux de ses camarades. Si cela devient une habitude, cela peut conduire à des sentiments d’infériorité.

Stade 5 – Adolescence : Identité versus confusion des rôles

L’étape de l’adolescence est l’origine du terme  » crise d’identité « , et pour une bonne raison. L’adolescence consiste à développer un sentiment d’identité personnelle. Les adolescents qui peuvent clairement identifier qui ils sont grandissent avec des objectifs et une connaissance de soi plus solides que les adolescents qui peinent à se libérer de l’influence de leurs parents ou de leurs amis. Les adolescents qui dépendent encore profondément de leurs parents pour l’interaction sociale et l’orientation peuvent éprouver plus de confusion des rôles que les adolescents qui poursuivent leurs propres intérêts.

Étape 6 – Jeune adulte : Intimité vs isolement

Dans le jeune âge adulte, qui commence à peu près à 20 ans, les gens commencent à solidifier leurs liens de toute une vie ; beaucoup de gens s’engagent dans des relations engagées ou des mariages, tandis que d’autres forment des amitiés de toute une vie. Les personnes capables de créer et d’entretenir ces relations en récoltent les bénéfices émotionnels, tandis que celles qui ont du mal à entretenir des relations peuvent souffrir d’isolement. Un jeune adulte qui développe des amitiés solides au collège peut ressentir plus d’intimité que celui qui a du mal à former et à maintenir des amitiés proches.

Stade 7 – L’âge adulte moyen : Générativité vs stagnation

À l’âge adulte moyen, les gens ont tendance à lutter avec leurs contributions à la société. Ils peuvent être occupés à élever des enfants ou à poursuivre des carrières. Ceux qui ont l’impression de contribuer vivent la générativité, qui est le sentiment de laisser un héritage. En revanche, ceux qui n’ont pas l’impression que leur travail ou leur vie compte peuvent éprouver un sentiment de stagnation. Par exemple, un adulte d’âge moyen qui élève une famille et travaille dans une carrière qui aide vraisemblablement les gens peut se sentir plus épanoui qu’un adulte dont le travail quotidien n’a pas de sens.

Stade 8 – Fin de l’âge adulte : intégrité contre désespoir

Lorsque les adultes atteignent la fin de leur vie, ils regardent en arrière et réfléchissent. Les adultes qui se sentent comblés par leur vie, que ce soit par une famille réussie ou une carrière significative, atteignent l’intégrité de l’ego, dans laquelle ils peuvent faire face au vieillissement et à la mort avec paix. Si les adultes âgés n’ont pas le sentiment d’avoir vécu une bonne vie, ils risquent de tomber dans le désespoir.

Autres théories du développement humain

Bien que largement utilisée, la théorie du développement psychosocial d’Erikson a été critiquée pour s’être trop concentrée sur l’enfance. Les critiques affirment que son accent rend le modèle moins représentatif de la croissance que les gens ont connue à l’âge adulte. Le modèle d’Erikson des étapes du développement humain n’est qu’une théorie abordant la croissance et le changement tout au long de la vie, car de nombreux autres psychologues ont fait des recherches sur leurs propres théories du développement humain, notamment les suivantes :

Développement cognitif

Jean Piaget a développé la théorie du développement cognitif. La théorie de Piaget est largement utilisée dans les programmes d’éducation pour préparer les enseignants à instruire les élèves de manière adaptée à leur développement. La théorie repose sur quatre stades :

• Sensorimoteurs – Au stade sensorimoteur (de la naissance à 2 ans), les enfants apprennent la permanence des objets, c’est-à-dire qu’ils comprennent que les personnes et les objets existent toujours même lorsqu’ils sont hors de vue.
• Préopérationnels – Au stade préopérationnel (de 2 à 7 ans), les enfants développent la pensée symbolique, c’est-à-dire qu’ils commencent à passer de la pensée concrète à la pensée abstraite. Les enfants de ce stade ont souvent des amis imaginaires.
• Opérationnel concret – Au stade opérationnel concret (7-11 ans), les enfants solidifient leur pensée abstraite et commencent à comprendre la cause et l’effet et les implications logiques des actions.
• Opérationnel formel – Au stade opérationnel formel (de l’adolescence à l’âge adulte), les humains planifient l’avenir, pensent de manière hypothétique et assument des responsabilités d’adultes.

Développement moral

Lawrence Kohlberg a créé une théorie du développement humain basée sur les concepts du développement moral. Cette théorie comprend les stades suivants :

• préconventionnel – Au stade pré-conventionnel, les gens suivent les règles par peur de la punition et font des choix uniquement dans leur intérêt.
• conventionnel – Au stade conventionnel, les gens agissent pour éviter le jugement de la société et suivent les règles pour maintenir les systèmes et les structures déjà en place.
• Post-conventionnel – Au stade post-conventionnel, une préoccupation authentique pour le bien-être des autres et le plus grand bien de la société guide les gens.

Théorie psychosexuelle

Sigmund Freud a popularisé la théorie psychosexuelle. Cette théorie comprend cinq stades :

• Oral – Au stade oral (de la naissance à 1 an), les enfants apprennent à sucer et à avaler et peuvent connaître des conflits avec le sevrage.
• Anal – Au stade anal (de 1 à 3 ans), les enfants apprennent à retenir ou à expulser les matières fécales et peuvent connaître des conflits avec l’apprentissage de la propreté.
• Phallique – Au stade phallique (3-6 ans), les enfants découvrent que leurs organes génitaux peuvent leur procurer du plaisir.
• Latence – Au stade de latence (environ 6 ans jusqu’à la puberté), ils font une pause dans ces étapes physiques et se développent plutôt sur le plan mental et émotionnel.
• Génital – Au stade génital (de la puberté à l’âge adulte), les gens apprennent à s’exprimer sexuellement.

En principe, les enfants passent par chaque phase de manière fluide au fur et à mesure que leur libido sexuelle se développe, mais s’ils sont bloqués dans l’une des phases, ils peuvent développer une fixation qui entrave leur développement.

Théorie comportementale

La théorie comportementale se concentre uniquement sur les comportements d’une personne plutôt que sur les sentiments qui accompagnent ces comportements. Elle suggère que les comportements sont conditionnés dans un environnement en raison de certains stimuli. Les théoriciens du comportement pensent que le comportement détermine les sentiments, il est donc important de changer les comportements car cela modifiera à son tour les sentiments.

La théorie de l’attachement se concentre sur les relations profondes entre les personnes tout au long de leur vie. Un résultat important de la théorie de l’attachement est que les enfants doivent développer au moins un lien fort dans l’enfance pour faire confiance et développer des relations à l’âge adulte. La théorie de l’attachement comprend quatre étapes :

• Associatif ou pré-attachement (de la naissance à 6 semaines)
• Attachement indifférencié (de 6 semaines à 7 mois)
• Attachement spécifique ou discriminé (7-9 mois)
• Attachement multiple (10 mois ou plus)

Théorie de l’apprentissage social

La théorie de l’apprentissage social s’appuie sur la théorie comportementale et postule que les gens apprennent mieux en observant le comportement des autres. Ils observent comment les autres agissent, voient les conséquences, puis prennent des décisions concernant leur propre comportement en conséquence. Les quatre étapes de cette théorie sont :

• Attention
• Retention
• Reproduction
• Motivation

Au stade de l’attention, les gens remarquent d’abord le comportement des autres. Au stade de la rétention, ils se souviennent du comportement et des conséquences qui en découlent. Au stade de la reproduction, les gens développent la capacité d’imiter les comportements qu’ils veulent reproduire, et au stade de la motivation, ils exécutent ces comportements.

Théorie socioculturelle

La théorie socioculturelle lie le développement humain à la société ou à la culture dans laquelle les gens vivent. Elle se concentre sur les contributions que la société dans son ensemble apporte au développement humain individuel. Par exemple, les enfants qui sont élevés pour jouer à l’extérieur se développent différemment de ceux qui sont élevés pour jouer à l’intérieur.

Une partie importante de cette théorie est la zone de développement proximal, qui est un domaine de connaissances et de compétences légèrement plus avancé que le niveau actuel d’un enfant. La zone de développement proximal aide les enseignants à penser et à planifier l’enseignement, de sorte que la théorie socioculturelle joue un rôle important dans la formation des enseignants en formation initiale.

Ressources : Plus d’informations sur les théories du développement humain

• Meilleure aide,  » Théorie du comportement, psychologie du comportement ou béhaviorisme ? How Behavior and Personality Intersect »
• Encyclopedia Britannica, « Les étapes du développement moral de Lawrence Kohlberg »
• Healthline, « Quelles sont les étapes du développement psychosexuel de Freud ? »
• PositivePsychology.com, « Qu’est-ce que la théorie de l’attachement ? Les 4 stades de Bowlby expliqués »
• Psychology Today, Social Learning Theory
• SimplyPsychology, « La théorie socioculturelle de Lev Vygotsky »
• SimplyPsychology, Theories of Psychology
• Verywell Mind, « Les 4 stades du développement cognitif »

Développement humain vs. Psychologie du développement

Quelles sont les différences entre le développement humain et la psychologie du développement ? Ces termes sont étroitement liés. En fait, l’étude de la psychologie du développement est l’entrée de la plupart des gens dans le développement humain.

La psychologie du développement se définit comme une approche scientifique visant à expliquer la croissance, le changement et la cohérence tout au long d’une vie. Elle utilise divers cadres pour comprendre comment les gens se développent et se transforment tout au long de leur vie. Les objectifs de la psychologie du développement sont de décrire, d’expliquer et d’optimiser le développement pour améliorer la vie des gens. Dans le monde réel, la psychologie du développement est utilisée dans l’étude du développement physique, psychologique, émotionnel, social, de la personnalité et des perceptions.

L’étude de la psychologie du développement peut mener à des carrières dans plusieurs domaines différents. Les psychologues du développement travaillent souvent dans des collèges et des universités et se concentrent sur la recherche et l’enseignement. D’autres travaillent dans des établissements de santé, des cliniques, des établissements de vie assistée, des hôpitaux, des cliniques de santé mentale ou des refuges pour sans-abri. Dans ces contextes appliqués, ils se concentrent davantage sur l’évaluation et le traitement des personnes. Selon les données de juin 2020 de PayScale, les psychologues du développement gagnent un salaire annuel moyen d’environ 68 000 $.

Quels sont les facteurs génétiques qui affectent la croissance et le développement humains ?

Il reste un autre élément clé de la croissance et du développement humains à explorer : la génétique. La génétique influence la vitesse et la façon dont les gens se développent, bien que d’autres facteurs, tels que l’éducation parentale, l’éducation, les expériences et les facteurs socio-économiques, soient également en jeu. Les multiples facteurs génétiques qui affectent la croissance et le développement de l’être humain comprennent les interactions génétiques et les anomalies des chromosomes sexuels.

Interactions génétiques

Les gènes peuvent agir de manière additive ou parfois entrer en conflit les uns avec les autres. Par exemple, un enfant ayant un parent grand et un parent petit peut se retrouver entre les deux, à une taille moyenne. D’autres fois, les gènes suivent un modèle dominant-récessif. Si l’un des parents a des cheveux bruns et l’autre des cheveux roux, le gène des cheveux roux est le gène dominant si leur enfant a des cheveux roux.

Interactions entre le gène et l’environnement

L’information génétique des humains est toujours en interaction avec l’environnement, et cela peut parfois avoir un impact sur le développement et la croissance. Par exemple, si un enfant in utero est exposé à des drogues, ses capacités cognitives peuvent être impactées, modifiant ainsi le processus de développement. En outre, même si les gènes d’un enfant indiqueraient une grande taille, si cet enfant fait l’expérience d’une mauvaise nutrition pendant son enfance, cela peut avoir un impact sur sa taille.

Anomalies des chromosomes sexuels

Les anomalies des chromosomes sexuels impactent jusqu’à 1 naissance sur 500. Les syndromes suivants sont des exemples d’anomalies des chromosomes sexuels qui peuvent avoir un impact sur le développement :

• Le syndrome de Klinefelter est la présence d’un chromosome X supplémentaire chez les hommes, ce qui peut entraîner des caractéristiques physiques telles qu’une diminution de la masse musculaire et une réduction de la pilosité corporelle et peut provoquer des troubles de l’apprentissage.
• Le syndrome de l’X fragile est causé par une mutation du gène FMR1 qui donne au chromosome X un aspect fragile. Il peut entraîner une déficience intellectuelle, des retards de développement ou des caractéristiques physiques distinctives telles qu’un long visage.
• Le syndrome de Turner se produit lorsqu’un des chromosomes X est absent ou partiellement absent. Il ne touche que les femmes et se traduit par des caractéristiques physiques telles qu’une petite taille et un cou palmé.

Syndrome de Down

Le syndrome de Down est un autre exemple courant de la façon dont la génétique peut avoir un impact sur le développement. Ce trouble chromosomique peut entraîner chez certains individus des différences de développement physique ou intellectuel. Le syndrome de Down se produit au 21e site chromosomique, les personnes atteintes du syndrome de Down ayant trois chromosomes au lieu de deux.

Les personnes atteintes du syndrome de Down ont souvent des caractéristiques physiques différentes et peuvent être sujettes à des problèmes physiques tels que des malformations cardiaques et des problèmes auditifs. La plupart des personnes atteintes du syndrome de Down présentent une déficience intellectuelle, mais le degré de cette déficience varie d’une personne à l’autre.

Pourquoi étudions-nous la croissance et le développement humains ?

L’étude de la croissance et du développement humains offre une grande valeur pour la croissance et la compréhension personnelles et professionnelles. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles nous étudions la croissance et le développement humains.

Les avantages les plus courants sont les suivants :

• Pour mieux comprendre ses propres expériences de vie. Cela peut aider les gens à atteindre personnellement une compréhension des événements de l’enfance qui ont façonné leur vie d’adulte.
• Pour acquérir des connaissances sur la façon dont le contexte social a un impact sur le développement. Cette connaissance peut être inestimable pour des professionnels comme les enseignants, car elle leur permet de mieux comprendre leurs élèves.
• Aider les autres à comprendre et à contextualiser les hauts et les bas de la vie. Cela aide les thérapeutes et les psychologues à mieux aider leurs clients à se découvrir.
• Pour comprendre comment les changements sociétaux peuvent soutenir la croissance et le développement. Cette compréhension aide les décideurs dans les écoles à changer la culture éducative pour le mieux.
• Pour devenir un chercheur, un enseignant ou un leader plus efficace dans de nombreuses industries différentes. Comprendre le développement humain en profondeur et dans son contexte présente de nombreux avantages professionnels qui peuvent conduire à une plus grande perspicacité.
• Pour soutenir la santé physique et mentale des individus tout au long de leur vie. Les professionnels comme les médecins, les infirmières et les thérapeutes doivent comprendre la croissance et le développement humains pour mieux soutenir leurs clients.

Les étudiants peuvent choisir d’étudier la croissance et le développement humains en raison de son éventail d’applications dans de nombreux domaines professionnels. Par exemple, les étudiants qui veulent devenir des enseignants du primaire peuvent suivre des cours sur les étapes du développement humain pour comprendre le développement cognitif et la façon dont le cerveau des enfants se développe et change.

Le développement humain est une discipline de grande envergure et en constante évolution. Une connaissance du développement humain peut être d’une valeur inestimable pour les personnes sur le plan personnel, car elles continuent d’apprendre et de se développer tout au long de leur vie, et sur le plan professionnel, car elles apprennent à appliquer ce qu’elles ont appris à leur carrière.